27.08.16 in ambassadeurs
alexis mabille
le gramme se tisse aussi au fil de rencontres, de regards croisés. depuis l’origine du projet le gramme, le couturier alexis mabille fait partie de cette communauté de bienveillants autour de la marque. twistant les silhouettes, mixant les époques, alexis revisite les vestiaires masculins et féminins, structurant le corps par des lignes graphiques, suggérant la sensualité par le mouvement, revendiquant des coupes empreintes de légèreté, de fluidité et de précision.
comment te présente t’on quand on parle de toi et de ton métier ?
on dit que je suis couturier, tout simplement, cela a le mérite d’être plus clair que styliste ou designer.
quelle est la chose dîtes de toi en tant que couturier qui te touche particulièrement ?
ce ne sont pas des mots, mais des émotions. il m’arrive de faire pleurer d’émotion durant un défilé. c’est très touchant. entendre dire aussi que j’ai fait plaisir aux gens, que j’ai donné envie d’aller sur une couleur, de ré-interpréter un vêtement, un volume. toutes les saisons de réinterpréter un style pour aller plus et essayer.
qu’est ce qui compte le plus dans ton métier ?
de faire plaisir tout d’abord. de pouvoir faire uniquement ce dont j’ai envie, d’avoir la liberté de ne pas écouter tout le monde. être créatif c’est choisir d’être libre, c’est une prise de risque qui consiste à avoir son propre point de vue et y adhérer quoiqu’il arrive.
comment te présente t’on quand on parle de toi et de ton métier ?
on dit que je suis couturier, tout simplement, cela a le mérite d’être plus clair que styliste ou designer.
quelle est la chose dîtes de toi en tant que couturier qui te touche particulièrement ?
ce ne sont pas des mots, mais des émotions. il m’arrive de faire pleurer d’émotion durant un défilé. c’est très touchant. entendre dire aussi que j’ai fait plaisir aux gens, que j’ai donné envie d’aller sur une couleur, de ré-interpréter un vêtement, un volume. toutes les saisons de réinterpréter un style pour aller plus et essayer.
qu’est ce qui compte le plus dans ton métier ?
de faire plaisir tout d’abord. de pouvoir faire uniquement ce dont j’ai envie, d’avoir la liberté de ne pas écouter tout le monde. être créatif c’est choisir d’être libre, c’est une prise de risque qui consiste à avoir son propre point de vue et y adhérer quoiqu’il arrive.
« être créatif c’est choisir d’être libre, c’est une prise de risque qui consiste à avoir son propre point de vue et y adhérer quoiqu’il arrive. »
le gramme est une marque lifestyle pour homme, elle propose des objets essentiels, dans votre univers justement quel est l’élément iconique, celui qui vous symbolise ?
le noeud papillon. c’est lui qui m’a fait connaitre au tout début, pour devenir un symbole distinctif que je retravaille d’année en année. il constituait pour moi une forme d’évidence unisexe en terme d’accessoires, j’avais envie de donner une chance à quelque chose que certains jugeaient comme ringard.
et ton objet le gramme, quel est-il et comment le portes-tu?
je porte mes pièces par paire, un bracelet à chaque poignet, comme les maharadja autrefois, tout simplement! le 7g est particulièrement joli avec les bas de manchette de chemise qu'il vient clore d’une fine rayure. je les mélange parfois avec d’autres bijoux, leur caractère essentiel le permet, ils deviennent comme des tatouages, deux fils d’argents qui ne bougent pas.
si le gramme était un vêtement… lequel serait-il ?
ce serait plutôt un sous-vêtement, car c’est un bijou intime. peut-être même un beau slip kangourou.
quel est le cadeau que tu aimerais recevoir prochainement?
un tableau de jacob kassay, un artiste new-yorkais qui réalise entre autres des monochromes argentés. ils sont comme des miroirs dans lesquels on ne se verra jamais. je collectionne d’ailleurs les miroirs, ainsi que l’argenterie.
le noeud papillon. c’est lui qui m’a fait connaitre au tout début, pour devenir un symbole distinctif que je retravaille d’année en année. il constituait pour moi une forme d’évidence unisexe en terme d’accessoires, j’avais envie de donner une chance à quelque chose que certains jugeaient comme ringard.
et ton objet le gramme, quel est-il et comment le portes-tu?
je porte mes pièces par paire, un bracelet à chaque poignet, comme les maharadja autrefois, tout simplement! le 7g est particulièrement joli avec les bas de manchette de chemise qu'il vient clore d’une fine rayure. je les mélange parfois avec d’autres bijoux, leur caractère essentiel le permet, ils deviennent comme des tatouages, deux fils d’argents qui ne bougent pas.
si le gramme était un vêtement… lequel serait-il ?
ce serait plutôt un sous-vêtement, car c’est un bijou intime. peut-être même un beau slip kangourou.
quel est le cadeau que tu aimerais recevoir prochainement?
un tableau de jacob kassay, un artiste new-yorkais qui réalise entre autres des monochromes argentés. ils sont comme des miroirs dans lesquels on ne se verra jamais. je collectionne d’ailleurs les miroirs, ainsi que l’argenterie.
« je porte mes pièces par paire, un bracelet à chaque poignet, comme les maharadja autrefois, tout simplement! »
et offrir aux personnes que tu aimes ?
j’offre beaucoup de fleurs, mais aussi des paires de chaussures très très hautes parfois vintage, de défilé, de pierre hardy…
quel est votre objet fétiche ? combien pèse-t-il ?
ma chatte de gouttière qui est néanmoins très snob et qui pèse 4503g.
qu’est ce qui a du poids dans ta vie ?
l’amitié, la loyauté, la gentillesse.
un endroit de prédilection où te trouver en ce moment ?
j’aime beaucoup les bars d’hôtel, en ce moment beaucoup l’hôtel maison chouquet, 10 rue de bruxelles, paris 9e.
j’offre beaucoup de fleurs, mais aussi des paires de chaussures très très hautes parfois vintage, de défilé, de pierre hardy…
quel est votre objet fétiche ? combien pèse-t-il ?
ma chatte de gouttière qui est néanmoins très snob et qui pèse 4503g.
qu’est ce qui a du poids dans ta vie ?
l’amitié, la loyauté, la gentillesse.
un endroit de prédilection où te trouver en ce moment ?
j’aime beaucoup les bars d’hôtel, en ce moment beaucoup l’hôtel maison chouquet, 10 rue de bruxelles, paris 9e.
« j’offre beaucoup de fleurs, mais aussi des paires de chaussures très très hautes parfois vintage, de défilé, de pierre hardy… »